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Articles

L'Art se défile

Défilé Chanel Haute couture Printemps-été 2021 (film réalisé par Anton Corbijn au Grand Palais en janvier 2021)

Explosions de fleurs multicolores, cerceaux touffus de verdure, parterre de pétales, ampoules nacrées entrelacées comme les perles d’un sautoir de Gabrielle Chanel.

LIGNE ET CAP

La brume du matin ne s'est pas encore dissipée, elle laisse quelques traces humides sur l'asphalte à notre arrivée au Palais de Justice.

Si l'on peut appeler Palais l'édifice de métal et de verre planté là, comme sorti brutalement d'un tertre, dénué de lien avec la placette d'en face et ses troquets villageois, et sans rapport avec les coquets petits immeubles qui lui tournent le dos.

A l'intérieur, un enchaînement de boîtes coulissantes, de murs et d'angles et de renfoncements, déguise l'espace ; on ne peut trouver la salle d'audience que grâce à une jeune déesse bouclée qui rit bien du labyrinthe.

Droit à l’image - Exploitation et transmissibilité entre vifs et à cause de mort :

L’image d’un individu qui constitue un élément de sa personnalité au même titre que son nom, comporte des attributs d’ordre extrapatrimonial et patrimonial.  

Dans ces conditions, le titulaire de l’image peut, de son vivant, s’opposer à son utilisation par un tiers à des fins commerciales.

C’est ce qu’a décidé la 1ère Chambre de la Cour de cassation par un arrêt publié au bulletin en 2009 en considérant que « l’utilisation de l’image d’une personne pour en promouvoir les œuvres doit avoir été autorisée par celle-ci ». (Cass 1è civ 9.7.2009 n°07-19758)

Salon du livre 2018

On s’y rend pour la signature de son auteur préféré. On est heureux de le rencontrer sur son stand et de discuter avec lui. Il dédicace ses ouvrages.

Puis on regarde autour de soi et on se laisse doucement happer par un autre stand, constitué d’autres personnes, dans une autre ambiance, autour de la couverture d’un autre livre, qu’on regarde : il y en a tant à découvrir !

On parle des affaires du cabinet

La Cour d'Appel de Paris vient de confirmer le jugement du Tribunal de Grande Instance de Paris du 7 juillet 2017 en toutes ses dispositions, déboutant l'artiste ORLAN de ses demandes formées à l'encontre de LADY GAGA et de sociétés du groupe UNIVERSAL sur le fondement du parasitisme. ( CA PARIS 15.5.2018).

On en parle notamment dans LEGIPRESSE  ( n° 361 du 11.6.2018).